En repensant aux attentats de Paris je reste pantois.
Et je repense au temps de ma jeunesse à la mer,
où, dans les dunes, on jouait à se tuer les uns les autres…
rien qu’ avec le doigt, en disant :
– Pan, toi !
Que de pouvoir dans un seul doigt !
On actionne un fusil ou on met en branle son crayon :
– Pan, toi !